In Syria, when a regime official calls the local Red Crescent chapter and asks for food rations, local aid workers cannot deny this request even if it is taken from the people’s share. They have no choice but to yield to orders under the threat of a “security report” that would cost them their freedom […]
Introduction
Nous allons commencer cette étude par l’observation d’un petit animal, l’abeille, dont vos connaissez sans doute à peu près l’étonnante organisation de sa ruche… Mais connaissez-vous toutes les surprenantes particularités de toute abeille… ? (La Genèse au risque de la science, pp. 46-47)
Avouez qu’il y a de quoi être émerveillé par ce petit  insecte qui pèse moins d’un gramme qui est équipé de dispositifs  parfaitement adaptés à des besoins très divers !
D’ailleurs, ce que vous venez de découvrir chez une simple abeille, vous  pourriez le découvrir avec une diversité infinie de trouvailles chez  d’innombrables animaux, qui ont des particularités uniques en leur genre  et qui leur permettent de faire face à des situations et des besoins  spécifiques ; le cas de la chauve-souris et de son sonar (utilisant la  réflexion des ultrasons) ou celui du chameau et de ses sabots  tout-terrain méritent le retour… Et je ne parle pas d’où vient la  coordination qui existe entre tous les animaux et végétaux d’un même  site (chaîne alimentaire…) ; tout cela est parfaitement agencé. La  question qui vient à l’esprit est : comment toutes ces adaptations  admirables ont-elles été inventées et mises en places ? Ou plutôt par  qui ?
Pendant des dizaines de siècles, la plupart des hommes ont répondu :  c’est un Etre transcendant (d’un ordre supérieur) à notre monde visible,  qu’on appelle Dieu, qui les a créés tels quels. On ne peut pas  observer, par exemple, la petite épine sur l’une des pattes antérieures  de l’abeille, épine dont elle se sert pour extraire le pollen du sac  disposé sur une autre patte, sans se dire : un être intelligent a bien  dû penser tout cela !
Et pourtant, depuis plusieurs décennies, une réponse très différente est  proposée : en résumant, tous les êtres vivants actuels seraient apparus  progressivement au long de centaines de millions d’années, depuis un  premier organisme très simple, unicellulaire, selon un processus de  transformation des uns à partir des autres, en passant par des  organismes de plus en plus complexes, jusqu’à l’homo sapiens sapiens (ou  homme de Cro-Magnon, semblable à l’homme actuel) descendant d’un  primate supérieur. Aujourd’hui, les scientifiques ont érigé l’hypothèse  de l’évolutionnisme – appelé aussi transformisme – en dogme énoncé dans  les manuels scolaires, les livres, les magazines, les reportages  télévisés, les conférences, les expositions, et même les livres de la  plupart des théologiens et ecclésiastiques, qui pensent concilier foi et  évolution matérialiste (puisque l’homme viendrait de la matière).



